mercredi 26 septembre 2018

Les résultats des évaluations des principaux dispositifs (en résumé)

Les tableaux ci-dessous synthétisent les évaluations réalisées sur les principaux dispositifs de 7 grands domaines (logement, énergie, transports, agriculture, emploi, formation et santé, soit environ 60% des dépenses publiques hors retraites[1]).
Au-delà du contenu, des montants et des volumes de bénéficiaires concernés par ces dispositifs, nous avons noté :
o    L’efficacité : elle est jugée positive (+) lorsqu’au moins 50% de l’objectif est atteint et/ou que moins de 50% des dépenses ne relèvent pas de l’ « effet d’aubaine » (= le résultat observé aurait été le même sans le soutien public) ;
o    L’efficience : elle est jugée (+) lorsque l’efficacité est obtenue avec un coût public « limité » relativement à des mesures comparables (ou par rapport au coût public « évité » grâce à ses  résultats). Une mesure peu efficace ne peut donc pas être efficiente, au mieux « neutre » si son coût est très limité ou si elle rapporte (ex. hausse d’une taxe ou réglementation) ;
o    Les impacts économiques : ils sont jugés (+) lorsque le dispositif augmente davantage l’activité économique qu’il la réduit via son financement (opéré sur d’autres activités) ;
o     Les impacts sociaux : ils sont jugés (+) lorsque le dispositif bénéficie davantage aux 50% les moins aisés qu’aux 50% les plus aisés (effets redistributifs vs. régressifs.

Plusieurs constats (descriptifs) sont communs aux différents domaines étudiés :
o    Plus de 80% des dispositifs les plus « importants » (en montants de dépenses publiques) ont une efficacité faible à très faible et la plupart d’entre eux ont également des impacts économiques et/ou sociaux négatifs, dont notamment :
·         Le Crédit d’Impôt Compétitivité Emploi (CICE, dont le coût est d’environ 20 Mds €/an) et les allocations chômage (~ 37 Mds €/an) ;
·         Le remboursement public des médicaments (~ 29 Mds €/an) ;
·         Les aides au logement (~ 18 Mds €/an) et la TVA sur les travaux (~ 5 Mds €/an) ;
·         Les formations continues du Plan de formation des entreprises (~ 9 Mds €/an) ;
·         Les aides au revenu agricole « découplées » (~ 6,4 Mds €/an)…
o    Les principaux dispositifs dont l’efficacité est plutôt élevée et les impacts sociaux et/ou économiques importants sont pour la plupart nettement moins financés, les plus importants parmi eux étant :
·         Les soutiens à la production de logements sociaux (~ 7,5 Mds €/an) ;
·         Les contrats aidés (avec formation) dans le secteur non marchand (~ 2 à 3 Mds €/an) ;
·         La sécurité routière (~ 2 Md €/an), notamment entre 2001 et 2011 ;
·         Le congé individuel de formation (~ 1 Md €/an) ;
·         Les aides de l’Anah (~ 0,8 Md €/an) et le Fonds chaleur de l’Ademe (~ 0,2 Md €/an)...
o   Les domaines cumulant le plus de dispositifs "importants" (en termes de montants) peu à très peu efficaces sont donc l’emploi, l’agriculture, le logement et la formation continue (voir le 1er constat) ;
o   Les domaines cumulant le plus de dispositifs "importants" plutôt efficaces sont la santé (ex. coûts de gestion et la majorité du système hospitalier) et (dans une moindre mesure) l’énergie.
Pour chacun des domaines, les tableaux ci-dessous résument les bilans et résultats des évaluations analysées. Plus de détails sur les résultats et méthodes des évaluations résumées sont disponibles dans les résumés des évaluations par domaines publiés ici (et plus ou moins actualisés).
A partir de l’ensemble de ces évaluations, un diagnostic plus transversal analysant les principaux facteurs expliquant les problèmes d’efficacité et d’impacts de ces politiques est publié ici.
Cette analyse transversale fonde, avec les retours d’expériences d’autres dispositifs locaux ou étrangers, des propositions chiffrées dont le détail par domaine est ici et la synthèse ici.


Logement

Principaux
dispositifs
Principales modalités/conditions
Coût/avantage par logement
Dépense publique /an (2016)
Principaux « résultats »
Evaluations de l’efficacité / efficience*
Impacts 
éco / sociaux
Aides personnalisées au logement (APL, ALS et ALF, dont accédants)
12 à 14 000 € net /an (locataires)
2800 €/an en moyenne
(selon le revenu, la taille du ménage et la localisation)
~ 18 Mds €

~ 6,5 millions de ménages aidé en 2014 (dont 600 000 accédants)
 - - / - - -
- / +
Soutiens à la production de logements sociaux (PLAI, PLUS et PLS, dont ANRU)
Loyer de 4,5 à 12,8 € /m² (PLS à Paris)
12 000 à 32 000 € net /an (1 personne)              
~ 30  à 60 000 € sur 40 ans
(Subventions + Exonérations fiscales + avantages de taux)
~ 7,5 Mds €

~ 125 000 logements produits en 2015          (et 15 000 démolitions)
+ / +
+ + /  + +
Défiscalisations de l’investissement locatif (dans le neuf pour la plupart)
Sans condition de revenu
Plafonds de loyer entre 80 et 100% du prix moyen
Jusqu’à 90 000 € (sur 9 ans pour la plupart) + 30% de déduction fiscale des loyers
~ 2 Mds €

~ 60 000 logements produits/an (2009-2015)
++ / - -
+ / - - -
Abattement progressif sur les plus-values immobilières (hors résidences principales)
Aucune condition de revenu
+ou- 50 000 € ?
(sans limite, selon la plus value effective)
~ 1,8 Md €

 ~ 30 Mds euros de transactions en 2015
- - - /  - - -
- - / - - -
Aides à l’hébergement et au logement adapté (CHU, hôtels, CHRS, foyers…)
Ménage ou personne sans logement
~ 5 000 à 15 000 €/an          (selon le type d’accompagnement)

~ 1,3 Md €

~ 300 000 places en 2014
++ / - -
- / + +
Soutiens à l’épargne logement (exonérations et avantages PEL)
Aucune condition de revenu
+ou- 2000 €
(primes + exonérations)
~ 1,2 Md €
~ 500 000 logements et 22 M comptes en 2014
- - / - -
?
Prêt à Taux Zéro (PTZ) pour l’acquisition d’une résidence principale « neuve »
22 à 36 000 € net /an (1 personne) selon la zone

+ou- 15 000 €

~ 1 Md €
~ 60 000 logements en 2015
?
(+) / +
Total des dépenses publiques « logement »  ~ 35 Mds €/an (hors rénovation)

Taux réduits de TVA sur les travaux de rénovation des logements
10% (vs. 20%) pour les travaux sans impact énergétique
5,5% (vs. 20%) avec impact énergie
+- 800 € en moyenne
Sans plafond
~ 5 Mds €

~ 6 M de logements/an
dont ~ 1,6 Mds € pour des travaux énergétiques
(-) / - -
-  / -
Crédit d’Impôt Transition Energétique (CITE, ex-CIDD) sur les travaux de rénovation énergétique
Propriétaires occupants  
Condition de performance énergétique par travaux
30% du montant de certains travaux jusqu’à 8000 euros sur 5 ans
~ 1,5 Md €
(très variable)

~ 1,2 M de logements en 2016
- / - -
-  / - -
Soutiens à la rénovation de logements sociaux
Conditions d’étiquette énergie initiale (D à G)
~ 2 000 à 10 000 €
(Tous soutiens cumulés)
~ 900 M €

~ 300 000 logements/an en 2015 dont ~ 50 000 rénovations énergétiques
+ / -
 + / +
Déduction des dépenses de réparations et d’amélioration du revenu
Propriétaires bailleurs
Sans limite sur le revenu foncier 
(et jusqu’à 10 700 €/an hors foncier)
~ 900 M €

~1,3 M de logements                en 2014
?
?
Subventions de l’Anah et aides locales aux travaux de rénovation des ménages modestes
Propriétaires occupants aux revenus modestes (ex. 18 000 € net /an pour 1 personne)
Propriétaires bailleurs avec locataires aux revenus modestes
35 à 60% de 20 000 € de travaux  (jusqu’à 35% de 80 000 €)
~ 800 M €

~70 000 logements/an dont 50 000 rénovations énergétiques en 2014-2016
+ / -
+ /  + +
Aides sociales à l’énergie (Tarifs réduits et aides FSL aux factures d’énergies)
Conditions de ressources variables selon les dispositifs et Départements
+- 100 € en moyenne
~ 300 M €

?
- - / - -
- - / +
Eco prêt à 0% (Eco-PTZ) sur les travaux de rénovation énergétique
Pas de condition de revenus
Condition de performance par travaux ou globale
0% d’intérêts  jusqu’à 30 000€
~ 80 M €
+ou- 35 000 éco-prêts 
par an
de +ou- 17 000 €
+ / +
+  /  -
Total des dépenses publiques « rénovation » ~ 10 Mds €/an (dont ~ 4 Mds pour l’efficacité énergétique)

 Energie

Les tarifs d’achat préférentiels permettent aux producteurs de revendre leur électricité à un prix supérieur au prix de gros français (~ 40 à 50 € /Mwh en 2014-2015) durant 15 à 20 ans.

photovoltaïque
éolien terrestre
fossiles DOM et Corse 
cogénération fossiles
petit hydraulique
biomasse (hors incinération)

  + 20-200 €
+ 10-30 €
   + 30-80 € ?
+ 10-30 €
              + 5-20 €
   + 50-100 €
~ 5 Mds €
(engagés chaque année sur 15-20 ans)

~ 50 Twh/an (en 10 ans)
~ 2,2 Mds € (6 Twh/an)
~ 800 M € (18 Twh/an)
 ~ 800 M € (6 Twh/an)
~ 500 M € (12 Twh/an)
~ 100 M € (5 Twh/an)
~ 300 M € (4 Twh/an)
+ / - -
- / - -
La recherche sur le nucléaire civil est principalement soutenue par des subventions de l’Etat
Subventions directes ou indirectes à des organismes de recherche

-
~ 1,5 Md €*
en 2012

CEA ~ 1,1 Md
IRSN ~ 200 M
CNRS ~ 100 M
       ANDRA ~ 100 M
?
?
Crédit d’Impôt Transition Energétique (CITE, ex-CIDD) sur les équipements énergétiques performants dans les logements
Propriétaires occupants sans condition de revenus
Condition de performance énergétique par équipements
30% du montant de certains équipements
Jusqu’à 8000 euros sur 5 ans
~ 400 M €**
en 2015
~ 400 000 équipements dont ~200 000 «  bois »
~ 120 000 « gaz »                       
- / -
-  / - -
La défiscalisation partielle des agro-carburants permet aux producteurs de les vendre plus cher
+ou- 0,35 €/litre pour le Biodiesel (vs. 0,43 €/l. Gazole)       et 0,47 €/litre pour le Bioéthanol (vs. 0,61 €/l. de Super)
~ 300 M €
en 2012
~ 5 Twh/an (en 5 ans)        

+ / -
- - -  / - -
La recherche sur les énergies renouvelables est soutenue par des subventions et appels à projet
Subventions à des organismes (ADEME, CEA, CNRS) et appels à projet


-
~ 200 M €
en 2012


?
?
Le Fonds chaleur soutien des projets de production et de distribution de chaleur
Subventions dans les secteurs industriel, agricole et tertiaire (principalement à partir de bois)
20 à 40%
de 0,5 à 20 M€ par projet
~ 200 M €
en 2014
~ 18 Twh/an (en 5 ans)        

++ / ++
+ / ?
Total des dépenses publiques « énergie » ~ 10 Mds €/an (production d’énergie)










Emploi


Principales modalités/conditions
Coût/avantage par bénéficiaire
Dépense publique / an (2015)
Principaux « résultats »
Evaluations de l’efficacité / efficience*
Impacts 
éco / sociaux
La réduction générale de cotisations patronales permet aux entreprises de réduire leurs cotisations patronales de +ou- 42% à +ou- 15% au niveau du Smic.
Ensemble des entreprises
Pas de condition hors niveau de salaire

~ 4700 € au Smic
~2200 € à 1,4 Smic
0 € à 1,6 Smic

~ 21 Mds €
 (Etat)

~11 M salariés concernés
-  / +
+  / -
Le Crédit d’Impôt Compétitivité Emploi (CICE) permet à l’ensemble des entreprises de récupérer 6% des salaires bruts < à 2,5 Smic annuel
Ensemble des entreprises
Pas de condition hors niveau de salaire
~ 1000 € au Smic
~1500 € à 1,5 Smic
~2100 € à 2 Smic
0 € après 2,5 Smic
~ 18 Mds €
pour 2015
(Etat)
~ 20 M salariés concernés
- - / - - -
-  / -  
Diverses aides directes et indirectes aux entreprises visent le développement économique local et sont principalement versées par les collectivités locales
+ou- 7 Mds d’aides (dont ~15% de prêts et avances et hors  2 Mds de coût de gestion)

~ 9 Mds €
en 2005*
(dont ~10% Etat+UE)
?
 ? / - -
?
Divers contrats aidés permettent à des associations, collectivités ou entreprises d’employer des publics « prioritaires » avec un coût réduit par des subventions
Emploi de publics “prioritaires” (personnes éloignées de l’emploi, salariés handicapés …)

+ou- 12 000 € par ETP

~ 6,5 Mds €
dont ~ 3 Mds € handicap
~ 640 000 bénéficiaires en 2015
(~500 000 ETP)
+ +  / +
(CUI secteurs non marchand)  
+  / ++
Les réductions de cotisations et impôts « emploi à domicile » permettent de baisser le coût du travail dans ces secteurs (hors gardes d’enfants)
Personnes handicapées ou âgées (plus de 70 ans)
Autres particuliers employeurs à domicile
+ou- 1200 € par employeur
+ou-  1500 € par employeur
~ 5,5 Mds €
dont :
~ 3 Mds €
~ 2 Mds €
Bénéficiaires employeurs 2015 :
~2,5 M
~1,5 M
+ / -
+ / -  
Les exonérations « géographiques » réduisent les prélèvements des employeurs des zones défavorisées
Localisation dans des zones « prioritaires » (DOM, quartiers, zones rurales…)

+ou- 4000
à 10 000 €/salariés
~ 1,5 Md €

~ 250 000 salariés + 90 000 indép. (DOM)
-  / -  
- -  / -  
Les exonérations « auto entrepreneurs » permettent une imposition limitée à +ou- 25% du CA
Seuil de revenu annuel < à 82 200 €/an commerce ou à 32 900 €/an (service)
+ou- 3000 €/an
jusqu’à 20 000 €/an
  ~ 1 Md € ?

~ 1 M dont ~  500 000 avec un chiffre d’affaire > à 0
?
?
Dépenses publiques « développement des emplois » ~ 65 Mds €/an    
Les allocations liées à l’assurance chômage indemnisent les demandeurs d’emploi avec des durées et taux liés aux salaires précédents (hors ASS)
+ de 610 heures dans les 28 derniers mois 
Condition de ressources limitées aux personnes en « fin de droit »

+ou- 1000 €/mois
~ 450 €/mois

~ 37 Mds €
dont ~ 3,5 Mds € de gestion
~ 2,8 M (ARE)
~ 400 000 (ASS)
- / - -
+ / -
Le Revenu de Solidarité Active (RSA) « socle » est versé aux personnes sans activité dont les revenus du foyer sont inférieurs à un minimum
Personnes de plus de 25 ans dont les ressources sont < à 500 €/mois seul ou 750 €/mois en couple (+ 150 à 200 €/enfant)

+ou- 400 € net/mois


~ 10 Mds €

~2 M bénéficiaires directs (dont ~ 900 000 DE non indemnisés)
- / - -
+ / + +
La Prime d’activité remplace depuis 2016 la Prime Pour l’Emploi et le RSA activité en complétant les revenus d’activité limités
Salariés ou indépendants ayant des revenus d’activité réduits (ex.1500 euros net par mois pour une personne seule)
+ou- 2000 € net/an
(jusqu’à 6000 € net/an « seul » -38% des revenus)

~ 5 Mds €
en 2016
~ 3 M bénéficiaires
directs (dont ~ ? DE en activité réduite)
?
(trop récent)
+ + ?
(si hausse du taux de recours)
Les accompagnements des demandeurs d’emploi proposent des entretiens +ou- fréquents à des cibles diverses (allocataires du RSA, jeunes…)
Cibles et intensités des accompagnements très diverses
Allocations pour les jeunes « éloignés de l’emploi »
de +ou- 300 €/an (Suivi Pôle emploi)  
+ou- 2000 €/an (Garantie Jeunes)

~ 3 Mds €

~6 M au total dont ~100 000 Garantie Jeunes
Très variables
Très variables
Dépenses publiques « soutien aux demandeurs d’emploi » ~ 55 Mds €/an (hors formations)  
Total des dépenses publiques « Emploi » ~ 120 Mds €/an (2015)










Formation

Le financement public des formations supérieures (à 90% par l’Etat*) couvre l’essentiel des coûts des diverses formations initiales de 2,4 millions d’étudiants (dont 250 000 étrangers) :
Bac +2 et + 3
-        Licences Universitaires** (3 ans, bac +3, hors IUT)
-        BTS hors alternance (Lycées et privé, 2 ans)
-        Classes Préparatoires aux Grandes Ecoles (Lycées, 2-3 ans)
-        IUT (Universités, sur 2 ans)
-        Paramédical et social (? écoles, 2-3 ans)
-        BTS en alternance (CFA et privé, 2 ans)***
Bac +5 et plus
-        Masters et Doctorats Universitaires (2 ans, dont Médecine)
-        Grandes Ecoles d’administration**** (~40 écoles, 2 à 5 ans)
-        Ecoles d’ingénieurs Universitaires (40 écoles, 3 ans)
-        Grandes Ecoles de commerce (~90 écoles, 3ans)
-        Grandes Ecoles d’ingénieur (~20 écoles, 3 ans)
-        Grandes Ecoles d’agriculture (~20 écoles, 3 ans)
-        Ecoles artistiques et culturelles (archi, communication)
-        Autres Ecoles privés (commerce, gestion et ingénieur)

+ou- 6 000 €
en moyenne

+ou- 3 000 € (~800 000)
+ou- 7 000 € (240 000)
+ou- 15 000 € (80 000)
+ou- 8 000 € (120 000)
+ou- 7 000 € (140 000)
+ou- 12 000 € (~80 000)

+ou- 5 000 € (~500 000)
+ou- 30 000 € (~40 000)
+ou- 12 000 € (70 000)
+ou- 8 000 € (90 000)
+ou- 50 000 € (12 000)
+ou- 20 000 € (10 000)
+ou- 5 000 € (60 000)
+ou- 3 000 € (60 000)

~ 14 Mds € (2012)
dont :

~ 2,5 Mds €
~ 1,5 Md €
~ 1,2 Md €
~ 1 Md €
~ 1 Md €
~ 1 Md €

~ 2,5 Mds €
~ 1 Md €
~ 800 M €
~ 700 M €
~ 600 M €
~ 250 M €
~ 250 M €
~ 200 M €

+ / -
(système global – très variable)
+  / - -

Les bourses sociales sont versées par l’Etat aux étudiants (sauf dans la plupart des « autres écoles privés ») en fonction du revenu de leurs parents (l’avantage décroît donc avec le revenu)
500 à 5500 € par an
pour 650 000 boursiers

~ 2 Mds €


-  / -
+  / ++
La majoration du quotient familial pour enfant étudiant permet aux ménages de diviser leur revenu imposable par 0,5/enfant jusqu’à l’âge de 25 ans (l’avantage croît donc avec le revenu)
0 à 2000 € par an
pour 1,6 M de ménages

~ 2 Mds €


?
+ / - -
Les autres réductions et crédits d’impôt permettent de réduire les frais de scolarité et d’exonérer les revenus d’activité des enfants
+ou- 500 € (~1 M)
~ 500 M €




Les autres aides aux étudiants sont financées par l’Etat via les CROUS (surtout restaurations et logements à prix réduits)
+ou- 200 € (~1,5 M étudiants en Universités)
~ 300 M €




Les établissements publics d’insertion de la défense (EPIDE) permettent à des jeunes « en difficulté » une remise à niveau « comportementale » et scolaire en internat et sur 6 à 18 mois
+ou- 35 000 € (~2 000)
(prise en charge de l’internat)
~ 80 M




Les écoles de la 2ème chance (E2C) permettent à des jeunes sans qualification de suivre une formation adaptée à leur niveau
+ou- 6000 € (~10 000)
(pas de rémunération ?)
~ 70 M




Dépenses publiques de « formation supérieure » ~ 19 Mds € /an  
Les formations au titre du Plan de Formation sont attribuées par les employeurs privés à certains de leurs salariés et financées à hauteur d’au moins 0,4 à 0,9% de leur masse salariale (directement ou via des OPCA)
+ou- 2000 €
dont 40% en rémunérations
et ~10% en frais de gestion
~ 9 Mds €
~ 5,5 Mds € directs
~ 3,5 Mds € OPCA
~5 M 
stagiaires/an
- - / - - -
+ / - - -
Les formations des agents publics sont principalement attribuées lors de mutations et promotions (hors ~ 1,5 Mds de formations « statutaires » des agents de l’Etat comptabilisés en formation initiale supérieure)
+ou- 1000 €
dont ~70% en rémunérations
~ 5,5 Mds €

~ 5 M 
bénéficiaires/an
?
?
Les formations de demandeurs d’emploi sont soutenues par les Régions et Pôle Emploi qui prennent en charge les coûts pédagogiques (AFC, AFPR, POE) et maintiennent l’indemnisation chômage (AREF) ou rémunèrent les stagiaires non-indemnisés (ex. R2F, RSFP, Régions)
+ou- 6000 €
dont ~50% en rémunérations
~ 4,5 Mds

~ 600 000 bénéficiaires/an
+ / -
+ / -
Le Congé Individuel de Formation (CIF) prend en charge des formations longues (+ou- 800 h) et qualifiantes choisies par des salariés en CDI (80%) ou en CDD (20%)
+ou- 11 000 €
dont 60% en rémunérations
et ~10% en frais de gestion
~ 1 Md
(via les OPACIF)
~ 80 000 bénéficiaires/an

+ + /  -
+ / + +
Des subventions à divers organismes de formation (Cnam, Greta, Universités, etc.) permettent à des particuliers de bénéficier de formations continues à des prix réduits (mais sans rémunération)
+ou- x € (~ x M)

~ 800 M

?
?
+ / -
Les périodes de professionnalisation sont financées via les OPCA et attribuées à des salariés en CDI pour des formations qualifiantes et plus longues qu’en Plan de formation (+ou- 150h vs. 50h)
+ou- 1500 €
dont ~x% en rémunérations
~ 500 M
(via les OPCA)
~ 300 000 bénéficiaires/an

-  / -
- / - -
Le Droit Individuel à la Formation (DIF) peut être mobilisé par un salarié en CDI avec l’accord de son employeur (20h /an à 9€/h plafonné à 120h) – remplacé depuis par le Compte Personnel de Formation
+ou- 400 €
dont ~x% en rémunérations
~ 200 M
(via les OPCA)
~ 500 000 bénéficiaires/an

- - / -
- / - -
L’accès aux compétences clés permet de financer des formations courtes en particulier pour les personnes en situation d’illettrisme ou très peu scolarisée
+ou- 1500 €
(pas de rémunération)
~ 60 M
(Etat + UE)
~ 40 000 bénéficiaires/an

- / -
+ / +
Les Observatoires emploi formation et Centres d’orientation (OREF et Observatoires de branches, CARIF et CIO..) informent et étudient au niveau territorial ou sectoriel la demande de qualifications et les offres de formation

-
~ 300 M
~ 150 M € Régions
~ 100 M € Etat
~ 50 M € OPCA

? / - -
?
Dépenses publiques de « formation continue » ~ 23 Mds €/an
Total des dépenses publiques de formation ~ 41 Mds €/an (2012-2014)








Santé


Principales modalités/conditions
Coût/avantage par patient ou habitant
Dépense publique / an (2016)
Principaux « résultats »
Evaluations de l’efficacité / efficience
Impacts 
éco / sociaux
Soins réalisés dans les hôpitaux publics (80%) ou privés (20%) dans le cadre d’hospitalisations ou de consultations (hors médicaments)
Paiement des hôpitaux selon les actes réalisés (T2A) et une part forfaitaire (x%) Hospitalisations prises en charge à 80% hors forfait hospitalier (20 €/jour) ou à 100% pour les maternités et ALD
7400 €/an  
(par patient)   
~ 82 Mds €
(93% de 88 Mds    de dépenses totales)
25 M séjours/an
 11 M patients/an
+ / -
+  / ++
Soins de « ville » réalisés par des médecins libéraux, dentistes, ou auxiliaires médicaux (infirmiers, kinés) et analyses de laboratoires
Honoraires libres (secteur 2) ou conventionnés (secteur 1) à des tarifs de « base » (ex. 25 € pour les généralistes) pris en charge à 60 ou 70%**                    
540 €/an  
 (par patient = habitant)

~ 35 Mds €
(67% des 52 Mds  de dépenses totales)
? consults/an pour 130 000 médecins, 40 000 dentistes et 240 000 auxiliaires médicaux
- / (+/-)
-  / - -
Médicaments remboursables (85% du total des médicaments) achetés en pharmacies (85%) ou par les hôpitaux (15%)
Autorisation décidée par l’ANSM
Avis sur le % de remboursement par la HAS et décision Ministère
Prix négocié par le CEPS
540 €/an 
(par habitant)

~ 29 Mds €
(74% des 39 Mds   au total)
1470 unités par habitant/an 
  (vs. 1070 en Europe)
-  / - -
-  / +
Indemnités journalières versées pour les salariés en arrêt maladie (55%), en congé maternité (22%) ou en accident du travail (23%)
60 à 90% du net des 3 derniers mois (Arrêt Maladie > à 3 j et Congé Mat.) ou du dernier mois (Accidents du Travail)  plafonnées à 1,8 SMIC (> 4 en AT)
3800  €/congé maternité
Très variable pour les autres indemnités
~ 14 Mds €
785 000 maternités/an
17 jours d’AM par salarié (privé)
X AT ou MP /an
?

Autres biens médicaux (Optique, Pansements,  Prothèses…) et transports médicaux
Transports médicaux (40%) pris en charge à 90% en moyenne vs. Prothèses dentaires à moins de 50%

~ 11 Mds €
(55% des 20 Mds   totales)

-  / - -
-  / - -
Coûts de gestion des cotisations et remboursements publics et du pilotage du système de soins
Traitements des demandes de remboursements papiers ou électroniques transmis aux complémentaires + contrôles
123 €/an  
 (par habitant)
0,04 €/ € remboursé
~ 8 Mds €    (dont 0,7 Mds Pilotage Etat)
X M d’actes traités
 X contrôles/an par 9200 contrôleurs AM et Etat
+ / +++
+ / +
Actions de prévention réalisées hors consultations (dépistages, information, PMI, contrôles…)
Divers dispositifs
et modalités
    

~ 4 Mds

Très variables

Réduction des cotisations sociales des médecins et auxilaires
Prise en charge d’une part des cotisations sociales (9%) si conventionnement ou « stabilisation » des dépassements
9% des revenus bruts à tarifs conventionnés
~ 2,6 Mds €
200 000 médecins et auxiliaires en secteur 1 et 15 000 en sect. 2
? / - --
- - / - - -
Total des dépenses publiques « Santé » ~ 185  Mds €/an (2016)
+ complémentaires « obligatoires » ~ 40 Mds /an = 225 Mds /an de dépenses obligatoires « Santé »
  hors 68 Mds /an Handicap (46 Mds/an dont 10 de soins) et Dépendance (22 Mds/an dont 10 de soins)
           

Agriculture


Principales modalités/conditions
Coût/avantage par ha ou production
Dépense publique / an (2016)
Principaux « résultats »
Evaluations de l’efficacité / efficience*
Impacts 
éco / sociaux
Les aides « découplées » ne sont pas liées à la production mais sur les aides reçues en 2000-2002 (DPU puis DPB)
Aides à l’hectare pour toute exploitation « active » respectant des conditions environnementales de base
250 €/hectare en moyenne 
(jusqu’à 2000 €/hectare)

~ 6,2 Mds


370 000 bénéficiaires
25 M d’hectares ?  
- / - -
+ / - -
Les aides « couplées » sont liées à la production de l’année en cours et sont différentes selon le type d’exploitation.
Vaches allaitantes
Prime à la brebis
65 à 167 €/vache
+ou- 20 € /brebis
~ 1,2 Mds
3,8 M vaches
7 M ovins
?
+ / -
Pilotage et contrôles des politiques agricoles par le ministère, ses opérateurs et délégations locales
Pilotages des politiques et gestion des aides, conseil et contrôle des exploitations

~ 1,8 Md €

? / -

La recherche agricole est soutenue par des subventions à des organismes et appels à projet
Subventions à des organismes (INRA et CNRS) et à divers appels à projet (« CASDAR »)
-
~ 1,5 Md €
?
?

La réduction de taxe sur le fioul-carburant permet de limiter le coût du gazole pour les activités agricoles
Le gazole non routier n’est taxé qu’à hauteur d’environ 0,2 euros/litre contre 0,6 euros/litre en 2018
0,4 euros/litre
~  0,9 Md
2,2 M de tonnes de  gazole non routier (42% du total)
- / - -
- - / -
La compensation d’handicap naturel (ICHN) soutien le maintien de l’activité agricole en milieu difficile
Parcelles situées en zone à rendements limités (ex. montagne) jusqu’à 50 hectares/exploitation
10 000 €/ exploitation
~ 0,9 Md €
85 000 bénéficiaires (5 M d’ha)
+ / +
+ / +
Les aides aux filières et indemnisations des victimes de calamités agricoles ou d’epizooties
Subventions diverses aux filières et indemnisations des victimes de calamités ou d’epizooties
Très variables
~ 0,8 Md
?
?

Les aides aux investissements soutiennent l’installation des jeunes agriculteurs (DJA) et la modernisation des exploitations
Conditions d’âge et de maintien (installation) et de type d’investissement (modernisation)
8 à 36 000 € (installation)
Très variables (modernisation)
~ 0,4 Md €*

5000 des 8000 installations aidées/an
9000 projets d’investissement/an
+ / +
+ / -
L’exonération TO-DE permet de réduire le coût des Travailleurs Occasionnels ou Demandeurs d’emploi
Exonération de cotisations patronales totale à 1,25 Smic puis dégressive jusqu’à 1,5 Smic jusqu’à 119 jours/an
~ 4000 €/an/salarié à 1,25 Smic
~ 0,5 Md
70 000 établissements 1,6 Md de masse salariale (sur 8 Mds)
- / - -
+ / -
Les mesures Agro-Environ-nementales (MAE) soutiennent diverses pratiques en compensant leur surcoût

Prime à l’herbe (PHAE)
Conversion Agriculture Bio (CAB)
Autres MAE

80 €/ha
100 à 800 €/ha
Variable
~ 0,4 Md €*
~  0,2 Md €
~ 0,1 Md €
~ 0,1 Md €

~60 000 bénéficiaires
~7 000 bénéficiaires
~40 000 bénéficiaires
- / +
+ + / +
Les aides forêt et bois soutiennent les gestions durables des forêts et le développement de la filière bois
Subventions à l’Office Nationel des Forêts (ONF) en majorité et à la création de dessertes forestières
Très variables
~ 0,3 Md
ONF + ? propriétaires de forêts privés (dessertes)
- / +
+  / ?
Total des dépenses publiques « Agriculture » ~ 15  Mds €/an

Transports


Principales modalités/conditions
Coût/avantage par km ou bénéficiaire
Dépense publique / an
(2012)
Principaux « résultats »
Evaluations de l’efficacité / efficience*
Impacts 
éco / sociaux
Les transports routiers ~ 22 Mds €/an    
Les subventions des réseaux routiers financent l’ensemble des travaux de construction et d’entretien routiers, hors autoroutes à péages (1% du réseau)
100% de subventions              sur ~1 M de km de réseaux routiers

~ 0,3 M €/k (entretien route de « base »)  
à  ~ 6 M €/km (nouvelles 2x2 voies)
~ 18 Mds €
Dont : 
  Entretien ~ 16* Construction ~ 2*
km et ponts/an entretenus non connu
~25% des chaussées en mauvaise état et 7% des ponts à « risque »
 - - / - - -
+ - / +
La sécurité routière finance les moyens humains et matériels de contrôle et de sanctions des infractions routières
Divers moyens d’information, de contrôles et de sanctions
20 500 gendarmes et  policiers + y radars
~ 2 Mds €

- 4500 morts et -87 000 blessés/an depuis 2000
+ + / + +
+ / -
La déduction des frais kilométriques permet de déduire du revenu imposable un montant lié à la puissance du véhicule et au nombre de km domicile-travail
Ménages imposables Déduction de 0,3 à 0,75 puis 0,6 €/km depuis 2013
~  300 €/an  
 (en moyenne)
Jusqu’à ?
~ 1,5 Md €
estimés
5 M de ménages 
- - / - - -
- - / - - -
L’exonération partielle de taxe sur le gazole permet aux transporteurs routiers de réduire d’environ 10% leur TICE
Toutes entreprises de transport routier de marchandise

~ 15 000 €/an  
 (en moyenne)
~ 0,4 M€**
~ 25 000 entreprises           ~ 10 Mds de litres de gazole
- - / - -
 - / -
Le bonus-malus « véhicules propres »  permet de moduler le prix des véhicules neufs selon leurs émissions de CO2
Modulation des prix d’achat selon les CO2/km et le type d’émissions (ex. électrique)
- 3500 € (> à 230 g CO2/km) à + 6000 € (< à 20g CO2/km)
~ 0,3 M €  
 500 €  pour 15% des achats (>140 g/km)
+ ? / + +
+ / +
Les transports collectifs locaux ~ 11 Mds €    
Les subventions aux transports en commun urbains soutiennent principalement (à 90%) l’exploitation (métros, tramways et bus) en permettant un tarif inférieur de 40 à 70% à leur coût
40% (Idf) à 65% de subventions des
 20% (Agglos) à 40% (Idf) de subventions de +ou-
6 à 10 des 14c /km en exploitation
3 M €/km à 100 M €/km (Métro) en construction
~ 8,5 Mds €   
Agglos ≈ 3,2 Mds
STIF**** ≈ 3 Mds
Départ ≈ 2 Mds Etat ≈ 0,3 Md
66 Mds de voyageurs.km             dont 28 Mds de km hors cars interurbains
 (+10% depuis 2008)
+ /  -
+ / +++
Les subventions au transport scolaire soutiennent l’exploitation des transports collectifs scolaires
X% de subventions des coûts d’exploitations en moyenne ?

?

~ 2,5 Mds

?
?

Les transports ferroviaires ~ 9 Mds €    
Les subventions au ferroviaire (développement, entretien et exploitation) permettent surtout des tarifs < à leur coût aux lignes « régionales »
~ 30 à 50% de subvention des coûts d’entretien  
~ 70% de subvention des lignes régionales
50 000 €/km (entretien « base »)  
à  +ou- 20 M €/km (construction LGV)
~ 9 Mds €     dont :
Entretien ~ 2,5 Construction ~ 1,5

1000 km de voies et 300 aiguillages
26 Mds de voyageurs.km « régionaux »
 (+10% depuis 2008)
+ /  -
++ / +++
Les transports aérien, maritime et fluvial ~ 6 Mds €                 
L’exonération de TICE du Kérosène permet aux compagnies aériennes de ne pas payer de taxe sur leurs carburants
Ensemble des consommations de kérosène sur le territoire

?

 ~ 3 Mds €
?


La sécurité aérienne est prise en charge par l’Etat et gérée par la direction générale de l’aviation civile
Services de navigation aérienne et d’atterrissage + contrôle aéronefs ?


~ 1,8 Md €  
Aucun accident aérien en France depuis ?


Les subventions aux investissements aéroportuaires soutiennent principalement l’entretien des aéroports
+ou- 30% des 0,7 à 0,9 Md €/an d’investissements

?

~ 0,6 Md €             

?


Les subventions fluviales et maritimes ciblent l’entretien des canaux et fleuves
Entretien et sécurisation par Voies Navigables de France

~ 0,6 M €    
6700 km de grands fleuves et canaux     


Total des dépenses publiques « Transports » ~ 48 Mds €/an (2012)

Sources Energie : Bilan CRE, Tarifs CRE, Bilan CITE, Cour des Comptes (p.88 et 178) et Bilan Fonds chaleur
Principales sources Emploi : PLFSS Annexe 5 pour les allègements de cotisations + PLF Solidarité et insertion (surtout p. 42-52) + PLF Travail et emploi + Rapport Unedic + Aide et action sociale Drees + Cour des comptes 2015 (pour les répartitions des dépenses de Pôle Emploi)
Principales sources Formation : PLF 2013 Enseignement Supérieur (p. 118-140, 159-163, 512 et 607) + Références statistiques (p.167-190 et 215-220 surtout) « Jaune » Formation professionnelle 2017 
Principales sources Santé : Comptes Santé 2016, Annexes PLFSS 2017
Sources Agriculture : Concours publics à l’agriculture + PAP 2018 + Bilan PDRH  + PLF Recherche
Sources Transport (2013) : Comptes des transports p.112-125 + PAP Ecologie et aménagement durable p.25-46


[1] Les principaux domaines non encore couverts par nos synthèses sont ceux de la retraite, de l’école, de la famille, du handicap-autonomie, de la sécurité-justice et de l’international

Aucun commentaire: